Palawan 2

Le 25 janvier Port Barton à El Nido

Plusieurs touristes nous avaient dit que El Nido n’était pas aussi agréable que Port Barton. Je comprends ce qu’ils voulaient dire. Les villes des Philippines n’ont rien de beau. Elles sont plutôt fonctionnelles. Des petites rues étroites sans trottoir, trop de véhicules sur les rues (c’est la cacophonie totale), de la construction tout le long de la route, alors c’est un exploit de se déplacer en marchant, la pollution totale (ça empeste le diesel) et il n’y a aucun parc. Une chance que les plages sont un attrait touristique majeur.

Bon c’est après une route en montagnes russes, tous serrés dans une van remplie à surcapacité que nous arrivons à El Nido. Il faut tout de même avouer que l’île de Palawan est superbe vue de la route. On y voit des rizières, des zones de végétation bien diversifiée, des petits villages bien vivants. Il n’y a aucune plantation qui s’étende sur de grandes surfaces mais plutôt des petites parcelles de terre cultivées un peu partout. Nous prenons le reste de la journée à explorer la ville malgré la difficulté à y circuler à pied.

Le 26 janvier El Nido

Nous avons découvert  la plage la plus proche de notre hôtel. Les paysages sont toujours enchanteurs (une fois loin de la route). El Nido est le point de départ de plusieurs activités en mer. On y offre des excursions en tous genres. On reste tranquilles malgré tout car Marc-André reprend des forces et Andrée est malade à son tour.

Plage Corong Corong, près de notre hôtel
Transport publique, les jeepneys, qu’on remplit à surcapacité

Le 27 janvier El Nido

Plusieurs plages se trouvent à proximité de la ville dont Nacpan Beach, réputée pour être la plus belle. Nous louons un scooter et partons à sa découverte. Nous traversons quelques villages de cultivateurs et admirons les paysages de rizières. Une fois arrivés, nous sommes surpris par la beauté du site. C’est bien vrai que cette plage est superbe avec son sable blanc et ses petites îles à l’horizon qui brisent la monotonie du paysage. C’est plus tranquille ici malgré le fait que de plus en plus de gens y viennent à mesure que le temps passe. Retour en fin d’après-midi juste avant que le trafic s’y mette de plus belle.

En soirée nous avons une rencontre préparatoire en vue de notre expédition en bateau qui part demain. On fait les présentations et on nous donne des instructions de dernière minute. Ça promet d’être excitant!

Sur la route, nous longeons plusieurs rizières
Plage de Nacpan
Habitation locale près de la plage
Baie arrière et village local
Voici le type de dépanneur où l’on s’approvisionne en collations et boissons

Du 28 janvier au 1 février El Nido à Coron (en bateau)

Il y a quelque chose de vraiment exotique à naviguer le jour sur un bateau traditionnel, pour ensuite s’arrêter sur des îles et passer la nuit dans des villages de pêcheurs. Le temps semble alors prendre une toute autre dimension. De plus, nous faisons au moins deux arrêts par jour pour faire du tuba et explorer la vie marine. Nous sommes 24 touristes sur le bateau, en plus des 9 membres d’équipage et on ne se sent jamais trop tassés. Tout est extrêmement bien planifié. Chaque soir nous couchons dans des petites huttes en bambou à proximité d’un village de pêcheurs. On nous fournit matelas, oreillers, draps et filet moustiquaire. Nous sommes aussi très bien nourris pendant tout le séjour.

Départ de El Nido
Jun Jun, notre guide, dans l’archipel des Bacuit
Le pont principal
Notre hutte de la première nuit
Arrêt à notre premier campement
Notre bateau vu du camp
Vue de notre hutte en se levant le matin
Enfants du village en attente du bateau qui les amène à l’école
Village à côté de notre camp
Endroit où l’on s’arrête pour faire de la plongée près du corail
Aldrin, le cuisinier, prépare le déjeuner
Préparation pour la plongée. Le cochon est à bord depuis 2 jours.
Cuisson du cochon
Dernier souper du voyage
Notre dernière demeure
Andrée en mode grasse matinée
Déjeuner à bord
Notre bateau d’expédition
L’équipage et les 24 passagers

Du 1 au 5 février Coron

Retour à la réalité après notre belle expédition en bateau… il est 17h à l’arrivée. Ville différente mais semblable aux autres, Coron n’a rien d’agréable. Une rue étroite sans trottoirs, trop achalandée et polluée par le bruit et l’odeur forte de diésel. Par chance nous trouvons un hôtel en bordure de l’eau qui nous permet d’échapper à la cacophonie générale de la ville. Nous y passons quelques jours de repos pour se refaire une santé.

Ville de Coron
Notre hôtel en bordure de l’eau
Baie de Coron

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